Conclusion

Le travail est progressivement devenu un moyen d’appauvrissement de l'individu.

Nous ne nous épanouissons plus dans le travail, son seul intérêt devient le salaire pour la consommation c'est à dire quelque chose d'étranger au travail lui-même.

Si un certain nombre de métiers y échappent partiellement (professions libérales, agriculture, enseignement, artistes, etc.)

Il faut convenir que la pression économique et le développement de la législation tendent à rationaliser toutes les activités professionnelles.

Le choix qui s'offre à nous est simple 

  • Sommes-nous prêt à sacrifier la valeur positive du travail sur l'autel du progrès technique et de sa diffusion au plus grand nombre ?

  • Acceptons nous de baisser notre pouvoir de consommation et la prolifération des objets techniques pour redonner un sens au travail ?

Il s'agit là d'une question sociale et politique qui nous concerne tous.