Conclusion
Certes le designer n’est pas seul responsable pour autant en choisissant ce métier il accepte d’entretenir le processus lui-même.
Il a pour le moins un devoir de résistance par rapport à cette dérive, il ne peut épouser les objectifs consuméristes de sa fonction tout en évacuant toute responsabilité concernant l’habitabilité du monde.
Il convient dans une dernière partie d'évaluer la possibilité de sortir le design de cette impasse et de lui permettre de renouer avec les idéaux qui ont présidé à sa création.